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Lait de chèvre qu'à partir de 6 mois : l'avis des professionnels

Rédigé par Alice du Laboratoire PediAct | 01 juin 2017

Les femmes qui ne peuvent pas ou qui ne veulent pas allaiter ont la possibilité de se tourner vers les laits infantiles. La plupart sont élaborés à partir de lait de vache, mais les temps changent et d’autres laits infantiles sont désormais commercialisés. C’est notamment le cas des laits infantiles issus du lait de chèvre. Lait infantile de chèvre ou de vache : quel est l'avis des professionnels ?

Les différences entre le lait infantile de chèvre ou de vache

Le lait de vache et le lait de chèvre sont très proches en termes de composition. A l'état naturel, leur composition ne permet pas de répondre aux besoins nutritionnels des nourrissons. Ils doivent tous les deux être modifiés pour fabriquer les formules infantiles.

Le lait infantile de chèvre autorisé par l’EFSA

Peut-on donner du lait de chèvre à un bébé ? La réponse est non ! Tout comme il est interdit de donner du lait de vache natif.

Peut-on donner une formule infantile issue du lait de chèvre à un bébé ? La réponse est oui !

Désormais, les laits infantiles issus du lait de chèvre sont autorisés sur le marché européen, car ils ont démontré leur qualité nutritionnelle et leur participation à la croissance de l’enfant.

Quand faut-il adopter une formule infantile au lait de chèvre ?

Dès l’âge de 6 mois, au moment de la diversification alimentaire, simplement pour faire découvrir un nouveau goût à l’enfant. C’est aussi une alternative si, du jour au lendemain, votre nourrisson refuse son biberon habituel. Le simple fait de changer de recette peut lui redonner goût au biberon.

Dans tous les cas, n’hésitez jamais à prendre conseil auprès de votre médecin ou pharmacien.

 

AVIS IMPORTANT : Le lait maternel est l’aliment idéal de chaque nourrisson. En cas d’utilisation d’une formule infantile, où quand la mère ne peut ou ne souhaite pas allaiter, il importe de respecter scrupuleusement les indications de préparation et d’utilisation et de suivre l’avis du corps médical.

NB : Cet article ne se substitue en aucun cas à une consultation médicale ou aux conseils d’un professionnel de santé.